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Tel un hommage au compositeur disparu Pierre Henry, Oxymore est un voyage musical où les sons de Pierre Henry interagissent avec l'univers de Jarre dans un va-et-vient entre sons analogiques et numériques. Le projet s'inspire du mouvement français de la "musique concrète", genre de composition musicale qui utilise comme matière première des sons enregistrés. Jarre reprend ce concept et le réinvente avec les outils d'aujourd'hui. "L'album a été développé comme une oeuvre immersive en multicanal et en binaural (... ) et le mixage stéréo s'en trouve même élargi." Oxymore pourra être ainsi accessible par tout auditeur équipé d'un simple casque standard tout aussi bien qu'au moyen d'un équipement audio adapté.

Paddington vit maintenant chez les Brown, sa nouvelle famille, à Windsor Gardens, où il est très heureux. Il souhaite offrir à tante Lucy un livre mystérieux sur Londres aperçu chez M. Gruber, l'antiquaire. La situation lui échappe et il se retrouve embourbé dans une drôle d'affaire. Sa famille et ses amis se mobilisent pour l'en sortir.

La Canaille est un quatuor originaire de la région parisienne qui se plaît à mêler hip-hop, rap et rock pour 12 titres sombres, parfois glauques...

Deux ans après la parution très remarquée de son premier album éponyme, la chanteuse néo-zélandaise est de retour avec un second opus. Originaire de Lyttelton, un village portuaire, la jeune songwriteuse, chanteuse et guitariste dilue une folk délicate aux textes d'une douce mélancolie. Et il y a cette voix qui la caractérise tant, une voix incisive et déchirante. Ici elle n'a pas hésité à prendre ses distances, quittant son pays natal pour Bristol où elle a enregistré aux côtés de l'illustre John Parish (Pj Harvey, Sparklehorse).

Le groupe folk rock Woods est de nouveau en fleurs, et nous invite à disparaître dans un nouveau spectre de couleurs, de sons et de rêves sur Perennial. Formé à Brooklyn en 2004, Woods a mûri pour devenir une véritable institution indépendante, au-dessus et en dessous de la racine, émergeant tous les deux ans avec un nouveau disque, faisant pousser leur musique toujours plus haut vers le ciel. Perennial est le son d'un groupe qui, à l'aube de son 20e anniversaire, continue de trouver de nouvelles façons audacieuses de s'exprimer (et de se remettre en question). Né d'un lit de boucles de guitare, de clavier et de batterie créées par Jeremy Earl, le chef de Woods, c'est une forme de méditation nocturne hivernale qui s'est transformée en un mode inexploré d'écriture en collaboration. Avec une vue sur le Pacifique étincelant et une bande enregistreuse, ils ont commencé à construire, à jammer sur les boucles, à changer d'instrument et à développer quelques douzaines de blocs de construction. Les onze chansons de l'album qui en résultent, dont quatre instrumentales, sont dans le mode classique de Woods - chatoyantes, familières, légèrement troublantes - mais avec les boucles d'Earl qui bouillonnent sous chacune d'entre elles comme une mystérieuse source souterraine. De la source à la graine et à la fleur, chaque boucle se déploie en quelque chose d'imprévisible, de la pop perlée de "Little Black Flowers" à l'extatique freak-beat étoilé de "Another Side".

Après Les Ventres jaunes et La Bonne rosée, Les Permissions de mai met un point final à la grande saga des couteliers thiernois.